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La Mauvaise Tête
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La Mauvaise Tête

vendredi 28 août 2009 par Killer Bob


Mené par Killer Bob, le 18 octobre 2008

Bille en tête.

… Contre un « petit service »… Tels sont les derniers mots de Kurtz ! 10K €$ et un « petit service »…

Mais Mamba insiste également pour faire ajouter un traducteur universel à son oreille cybernétique, car elle ne conçoit pas d’aller quelque part sans comprendre ce qui s’y passe.

Avec Zeezoo, elle retourne voir Mr Kurtz pour lui acheter le matériel et l’opération ainsi que pour accepter le marcher pour l’acquisition de l’antenne satellite.

En échange de l’antenne, Mr Kurtz leur demande simplement d’apporter un objet à son fils qui, comme par hasard, est installé à Macao… avec son oncle qui tient le restaurant « Le Cristal du Laos ». Comme il leur explique, il s’agit d’un service simple mais très important pour lui. Son fils se marie bientôt et l’objet qu’il veut lui offrir signifie qu’il deviendra le chef de famille, c’est pour eux, d’une importance vitale, une question d’honneur et de confiance. C’est pour cela qu’il paye si cher un service fort simple, surtout qu’il ne peut pas lui-même s’y rendre.

Nos héros en fuite acceptent le marché, après tout, n’est ce pas aussi l’occasion d’avoir des connaissances sur place !

L’opération de Mamba se passe sans problèmes et finalement Zeezoo peut aller modifier leurs différents billets pour préparer le départ.

Jack, dans un souci de discrétion, propose à CyberHell de prendre un autre vol, mais ce dernier ne semblant pas très enclin à voyager seul, l’idée est écartée.

La tête dans les étoiles.

Ils embarqueront donc pour trois semaines de voyage à bord de l’un des ces immenses vaisseaux qui traversent l’espace. Durant toute la traversée, Jack reste sur ses gardes, soupçonnant tout le monde et enregistrant chaque minute du voyage avec son œil cybernétique.

Finalement, le voyage se déroule sans encombre, aucune trace de Herst Invest.

Arrivés sur la base géostationnaire, ils embarquent sur un autre vaisseau, plus petit, pour terminer leur voyage.

La tête dans les nuages.

Après l’impressionnante entrée dans l’atmosphère terrestre, et quelques heures de vol, le capitaine annonce leur approche du « Macao International Astro-Airport ».

Durant l’approche, tous les passagers sont soudainement frappés par la vue de cette « cité dans les nuages », comme si des buildings reposaient dans le ciel.

Il s’agit en fait du sommet des quelques 200 immenses buildings du quartier PCC de Macao, reconnu comme l’un des plus impressionnants du monde, contenant parmi les constructions les plus hautes de la planète, ceux que l’on ne nomme plus les « SkyScrapers », les Gratte-ciel, mais les « SkyBorers », les Perce-ciel.

A l’ombre de ces impressionnants buildings, les passagers commencent à voir la ville de Macao. L’appareil se pose en mer, sur l’aéroport international de Macao, lui aussi l’un des plus importants au monde, car point d’arrivée central en Asie.

Ils mettent enfin, de nouveau, les pieds sur Terre.

A la tête du client.

La troupe au complet des anciens agents de P.I. Chicago se tasse avec les milliers d’autres arrivants dans la zone sous douane qui précède la frontière officielle, puis commence sa longue attente du passage des contrôles.

La salle est très grande, et toutes sortes d’individus s’y massent, des groupes de touristes, des hommes d’affaire, des immigrants, de tous types et de toutes origines.

Tous avancent vers le même point, les cabines des douanes. Au dessus de leurs têtes, survolant les arrivants, des petites plates-formes de surveillance, portant chacune un garde armé, entouré d’écrans mobiles. Parmi la foule, des drones de surveillance rappelant sans cesse les consignes de sécurité et de comportement.

Au fond, une longue rangée de ces cabines transparentes, protégeant chacune un autre garde armé. Chaque cabine fait office de douanier. Posant une multitude de question, faisant une infinité de contrôles et bien entendu recevant le créditube de chaque personne qui souhaite entrer en chine.

Lorsque tout va bien, la cabine vire au vert et la personne entre. Quand quelque chose cloche, la cabine vire à l’orange et un drone vient vous chercher pour vous conduire vers une autre zone, le temps que les contrôles soient approfondis.

Au dessus, un grand balcon transparent, faisant toute la largeur de la salle des arrivées. Deux hommes observent les milliers de visiteurs depuis ce balcon. L’un en uniforme du PCC, chargé de nombreuses décorations et de nombreux galons, l’autre, une silhouette bancale dans un pardessus chiffonné.

A mi chemin des cabines, les personnages voient l’une d’elle passer à l’orange, puis l’homme supposé suivre le drone d’accompagnement refuser d’obtempérer menaçant de forcer le passage… la cabine passe au rouge… les plates-formes convergent… et l’homme s’écroule criblé de balles. Un drone de nettoyage vient ramasser le corps tandis que les autres drones appellent au calme.

CyberHell est le premier à atteindre une cabine. Après les contrôles de routine, elle passe à l’orange. Surpris il ne sait pas quoi faire et se retourne vers ses compagnons qui lui font signe de se laisser faire. Il suit donc le drone.

Zeezoo passe ensuite, et la cabine devient orange, puis Mamba, Jack, Doc et Mac… Finalement, tous sauf Cyber, qu’ils ont perdu de vue, seront menés dans une salle à part.

Confortable, équipée d’un bar gratuit, avec vue sur les pistes, sous surveillance vidéo et gardée par deux hommes armés et un drone, la salle regroupe les personnages, un homme d’affaire affolé, un trio de jeunes touristes américains et une petite famille d’immigrants.

Une idée derrière la tête.

Après encore une longue attente, ils voient deux hommes arriver près des portes vitrées de cette salle, l’un en uniforme du PCC, chargé de nombreuses décorations et de nombreux galons, l’autre, une silhouette bancale dans un pardessus chiffonné.

L’officier s’adresse aux gardes et s’éloigne avec eux. Tandis que l’autre homme entre.

De type asiatique et d’assez petite taille, avec un bras droit très volumineux sous le pardessus, et un œil cybernétique apparemment « bugué » qui regarde de travers, l’obligeant à pencher bizarrement la tête quand il dévisage quelqu’un.

Il s’adresse d’abord aux jeunes américains et semble discuter quelques minutes avec eux, puis il est abordé par la femme du couple d’immigrants qui le supplie de les aider, de leur donner du travail mais il la renvoie sévèrement vers son mari. Finalement il approche du groupe de nos héros et après quels instants s’adresse à Jack dans un Anglais approximatif.

« Américains ? Touriste ? Bien, Macao belle, bien… »

« Pas pouvoir entrer…Vous travail ? Travail ? Si travail, vous entrer, vouloir travail ? »

« Travail facile, vous entrer chine, Macao… »

« Vous porter cadeau homme important et vous entrer Chine ! Deal ? »

Les joueurs remarquent également sa connexion matricielle avec, à la base, une plaquette en forme de taureau. Sans doute un « Mon », un signe de clan.

Même si cela ne leur dit rien qui vaille, Doc, Mac, Jack, Mamba et Zeezoo se disent qu’ils n’ont guère le choix… Faire ce travail sois disant simple pour entrer en Chine et pouvoir peut-être échapper à Herst Invest ou refuser et être renvoyés aux Etats Unis…

Ils acceptent donc. Lorsqu’ils demandent où sont leurs passeports, l’homme leur dit qu’il les gardera pour l’instant, en garantie. Finalement, après quelques détours, il les emmène récupérer leurs bagages et les conduit hors de l’Astro-Airport.

Enfin, ils entrent en Chine !

Plein la tête et les oreilles.

C’est donc en compagnie de leur étrange « employeur » que Jack, Mac, Doc, Mamba et Zeezoo découvrent Macao.

D’abord en dirigeable, pour quitter l’Astro-Airport, puis dans la limousine de leur hôte. Voiture au top de la technologie valant probablement une fortune dans laquelle il les laisse s’installer tandis qu’il range sa valise dans le coffre.

Il leur explique qu’ils devront se rendre à une adresse, qu’il leur donne, pour y délivrer d’abord un message, sous forme de LoMoSac. Puis, qu’ils seront ensuite conduits devant celui à qui ils doivent remettre la valise en mains propres.

Il ne leur donne pas de nom, ni de lieu de rendez-vous pour le retrouver, une fois le colis livré, rien… Leur disant simplement que la livraison devra avoir lieu le surlendemain dans la soirée.

Ils finissent par lui demander de les déposer avec la valise, sans trop savoir où ils se trouvent.

L’homme les laisse dans des quartiers aisés, aux rues encombrées de véhicules et de passant, bordées de hauts buildings, d’hôtels et de casinos et à l’activité frénétique.

A pieds, ils entrent dans des quartiers plus périphériques, toujours aussi chargés de passants, ne laissant même plus la place pour les véhicules en dehors des deux roues ou tout autre engin de déplacement de petite taille.

La technologie est omniprésente, de la cybernétique, des drones allant et venant sans cesse dans les rues, des enseignes lumineuses de tous côtés, une surveillance permanente par les hommes et les drones du PCC. Le tout continuellement survolé de dirigeables diffusant des publicités ou de la propagande.

Petit à petit ils s’enfoncent dans les quartiers populaires, se rapprochant des quartiers de bambou où, ils le savent, se trouve « le Cristal du Laos ».

Régulièrement, ils voient une autre forme de cybernétique, externe au corps, ou du moins greffée dessus plutôt que dedans, des sortes d’exosquelettes. De nombreuses personnes ont ainsi un bras supplémentaire, des appareils auditifs encombrants ou des casques avec lentilles, et zoom pour les yeux, un semi exosquelette sur les jambes… etc…

Plus ils entrent dans les quartiers populaires et plus la cybernétique apparaît être de ce type.

La ville est extrêmement vivante et bruyante.

Tête en l’air.

Ne voulant exhiber la large valise brillante, Mac décide d’acheter un sac à l’un des très nombreux commerçants. Il paye cher, un sac supposé « dernier cri », fait des derniers nano tissus, auto-réparant, autonettoyant, à la taille adaptative etc… du moins c’est ce qu’il croit comprendre du mauvais anglais du vendeur.

Il y place la valise et charge le tout sur son dos. Ainsi continuent-ils leur marche à travers Macao.

Très vite, ils aboutissent dans les quartiers de bambou, amas de maisons, de bateaux, pontons, quais, tous reliés, créant un dédale de rues de planches et de canaux sombres.

La foule y est toujours aussi dense mais l’argent est moins présent tout comme le PCC.

Des femmes de joie abordent les hommes pour les flatter et leur proposer leurs services… Attiré par le gente féminine, Jack relâche son attention et sa surveillance, qu’il maintenait depuis des jours.

Personne, en dehors de Mamba qui n’a pas le temps de réagir, ne voit arriver l’homme qui bouscule Mac et lui arrache le sac du dos avant de s’enfoncer dans la foule en courant.

L’instant de stupeur passé, tout le monde réagit :

- Mamba, déjà à la poursuite du voleur.

- Mac rapidement sur ses pieds.

- Jack dégainant et tirant le premier coup de feu.

- Doc cherchant une position haute pour un meilleur angle de tir.

- Zeezoo tentant d’allonger ses membres et de s’accrocher en hauteur pour passer au dessus de la foule.

- La première balle de Jack touche le fuyard mais sans le blesser, tandis que la foule s’écarte immédiatement au son du coup de feu.

- Alors qu’il s’apprête à tirer une seconde fois, Jack voit soudain un deuxième homme arriver sur sa droite. D’un réflexe étonnant, il tourne son arme et l’abat à bout portant, tandis que Mac qui l’a également vu tire juste à côté… manquant d’ailleurs de peu de se faire tirer dessus par Jack surpris par cette balle qui passe près de lui.

- C’est Doc qui finit par toucher de nouveau le fuyard, juste avant qu’il ne disparaisse dans une rue annexe, l’impact le faisant tomber dans un étal de marchand où il est vite rejoint par Mamba et son sabre… et dont il ne sortira jamais.

- Jack remarque enfin un troisième homme qui prend la fuite et disparaît dans la foule nocturne.

Après cette mésaventure, les compagnons forcent le pas pour rejoindre le « Cristal du Laos » le plus vite possible.

Se vider la tête.

Dans les quartiers de bambou, les joueurs trouvent rapidement le restaurant le Cristal du Laos. Aménagé dans une ancienne jonque dont l’avant ouvert fait office d’entrée, le restaurant semble plutôt haut de gamme pour le lieu. Très moderne, doté de plusieurs drones et de tables auto nettoyantes, le décor se veut "cristallin". Le patron, un vieil asiatique, est doté d’un troisième bras pour le service, d’un oculaire externe amélioré, d’une connexion matricielle et d’un pavillon auditif supplémentaire. Dés lors qu’ils se présentent comme des amis de Mr Kurtz, les joueurs sont cordialement invités et dés qu’ils présentent le "présent" qu’ils doivent remettre au fils de Mr Kurtz, ils sont reçus comme des "sauveurs" et grands amis de la famille. Il leur est offert le gîte et le couvert sans aucune hésitation.

Enfin, les personnages se sentent un peu en sécurité, et en mesure de décompresser. Même s’ils restent sur leurs gardes toute la nuit, ils passent la journée suivante à faire un peu de tourisme et d’emplettes. Jack va faire changer la pigmentation de sa peau pour faire un peu plus "couleur locale"...

Zeezoo tente de pirater la mallette, sans succès, ainsi que le message qu’ils doivent remettre, là encore sans véritable succès, car s’il passe les sécurités, personne ne comprend le contenu.

Ils apprennent que c’est à cause de la religion, qui interdit les "intrusions" cybernétique, que les populations basses ou moyennes adoptent cette forme de technologie externe au corps.

Ils apprennent également que la personne qu’ils doivent rencontrer est Lotus de Jais, le chef d’un gang puissant de Macao, et que le "Taureau" est le mon d’un gang adverse et, qu’à priori, les deux gangs ne sont pas en guerre pour le moment.

La journée se terminant, ils se reposent pour aller dés le lendemain, à leur rendez-vous.

Garder la tête sur les épaules.

Les joueurs se présentent donc devant l’immeuble supposé être le quartier général de Lotus de Jais. Il se situe en bordure des quartiers pauvres, juste en face d’un très grand casino.

Après avoir discuté avec les gardes, ils sont conduits en haut de l’immeuble et reçus par celui qu’ils doivent rencontrer.

Ils entrent dans un grand loft, très cossu et très bien équipé. La technologie est bien entendu omniprésente mais surtout très voyante. Lotus de Jais est dans un grand bain jacuzzi, entouré de trois geishas et la pièce est surveillée par 6 autres hommes.

Lotus de Jais : Un bras gauche décoré et gravé, une connection en argent avec le Mon de son clan. Des reflexes cablés « custom » qui brillent à travers la peau, des yeux entièrement noirs, comme des miroirs. De longs cheveux noirs. Il est grand, athlétique et plutôt bel homme. Il a, tatoué dans sa paume droite, une fleur de lotus noire, qui scintille de circuits imprimés.

Il accueil les joueurs et les invite à délivrer leur message. Celui ci est une projection holographique de caractères asiatiques. A la suite du message, Lotus approche sa main droite de la malette qui se déverrouille dans un sinistre "pshhhhh"...

Elle s’ouvre et dévoile une tête coupée et deux mains.

La tête est celle d’une jeune fille et l’une des deux mains, paume vers le haut, présente le même tatouage de lotus noir que Lotus lui même. Il y a également, dans l’autre main coupée, une carte de visite, représentant un serpent enroulé couleur sang.

Mamba reconnaît immédiatement ce symbole comme étant la marque des Vipères Assassines. Un groupe de mercenaires assassins dont elle fut un membre éminent...

Immédiatement, les joueurs se préparent au pire. Commençant à étudier la pièce, le nombres d’adversaires potentiels, les issues...

Lotus de Jais semble pour le moins "contrarié". Sans d’abord parler il va chercher un sabre, posé dans son ratelier. il ne le sort pas de son fourreau mais s’approche des joueurs et leur parle calmement.

"Je vais poser des questions. … Pour chaque mauvaise réponse je prélèverai sur votre chaire une partie de ce qui m’a été retiré."

Les premières questions de Lotus sont simples, il souhaite savoir si les joueurs appartiennent à un clan, s’ils ont été payés pour lui amener cette malette, et bien entendu qui ils sont.

Les premières réponses de Mc grive et Zeezoo sont assez confuses et Mamba intervient avec un discours plus "sur" et plus cohérent qui évite sans doute le pire.

Lotus de Jais ne semble pas leur en vouloir et ne les tiens pas pour responsables de ce qui se passe. En revanche il insiste pour qu’ils l’aide à retrouver les vrais responsables. Ne leur laissant guère le choix...

Ils lui parlent donc de leur commanditaire, identifié comme Da Costa Zhuang Abel, membre d’un gang adverse.

Lotus veut que les personnages le retrouve, après tout ils doivent aller chercher leur paiement et récupérer leurs passeports.

Ne souhaitant pas se mettre un gang à dos ou désireux de retrouver l’auteur du meurtre, les joueurs acceptent. Il leur confie une sorte de petit badge, qui est un traceur et leur demande simplement de le mettre en route lorsque qu’ils auront retrouvé la trace de leur commanditaire.

Tête à tête.

Nos héros s’en retournent donc et commencent à réfléchir à comment retrouver ce Da Costa Zhuang. Ils n’ont pas de lieu ou d’heure de rendez-vous, ce dernier leur avait certifié qu’il serait en mesure de les retrouver une fois leur mission accomplie. Ils se disent désormais que, probablement, il ne pensait pas les revoir...

Cependant, pensant que leur commanditaire devait pouvoir s’assurer que le paquet avait bien été livré, ils en déduisent qu’ils sont surement et tout simplement surveillés !

Tous se mettent alors à surveiller les alentours et, grâce à leurs sens cybernétiques finissent effectivement par déceler quelque chose.

Quelqu’un semble les observer du haut d’un immeuble en construction.

Sans hésiter, les personnages entrent en action.

Jack se précipite vers le terrain clôturé se situant derrière l’immeuble, dans le but de prendre leur nouvelle cible avant qu’elle ne soit descendue, il bondit par dessus la palissade d’une simple poussée de ses jambes cybernétiques.. Mamba, sur ses rollers motorisés, file dans la circulation dense, afin de faire le tour de ce terrain et y entrer par un autre côté, elle aussi par un impressionnant saut au dessus de la palissade.

Zeezoo, Mac et Doc entrent par les parkings, de l’autre côté de la zone de chantier. Là, Zeezoo se connecte à une borne d’entretien et commence à investir le système, celui là même qui contrôle nombre des équipements du chantier, dont des caméras.

C’est Jack qui fera la rencontre de celui qu’ils cherchent. Il approche discrètement le long de grands tuyaux de bétons et arrivé au bout est surpris par une attaque soudaine. Son adversaire surgit de l’un des tuyaux et d’un habile saut passe devant lui non sans le frapper de ses deux sabres.

Il se retrouve nez à nez avec une jeune femme, armée de deux sabres courts. Malheureusement pour lui elle est au contact et il lui est impossible d’ajuster ses tirs. Son habileté avec ses armes est remarquables, les coups pleuvent tandis qu’elle esquive et se faufile en tous sens.

Jack est dépassé et plusieurs fois blessés.

Fort heureusement, Mamba arrive et la jeune femme aux sabres doit maintenant faire front de deux côtés.

En outre, Zeezoo commence à utiliser les différents équipements qui entourent les combattants pour gêner leur adversaire.

Mais celle-ci fait preuve de réflexes étonnants et d’une grande agilité. Mamba, blessée, parvient à l’occuper suffisamment pour que Jack se retranche et soit en mesure d’ouvrir le feu.

En combinant leurs efforts, nos héros parviennent enfin à la mettre hors de combat. Mamba met alors en route le traceur que Lotus de Jais leur confia...

Entretemps, la voiture à été découverte dans le parking en construction. Les joueurs y trouvent le corps du vrai Da Costa ainsi qu’un nano-déguisement complet et leurs propres créditubes.

Il ne faut que quelques minutes aux hommes de Lotus de Jais pour arriver sur place. Sans rien dire ils prennent la jeune femme inconsciente et jettent un créditube par terre avant de se retirer.

Bilan :
— Une voiture très haut de gamme (PCC Corp) avec un cadavre dans le coffre :
— Une arme de point de petit calibre (100€$)
— Un bon couteau carbone (50€$)
— Un Nano-déguisement programmable de bonne qualité (+5) (10000€$)
— Deux petits sabres carbone interfacés (2 x 1000 €$).
— Un créditube avec 1000€$


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